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HTS heatmap

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...	...	@@ -19,6 +19,16 @@
19	19
20	20	\section{Résultats}
21	21
	22	+\subsection{Visualisation des modifications induites par l'injection de HTS}
	23	+Un exemple d'injection de HTS est présenté figure~\ref{fig:HTS-exemple}. Les différents descripteurs du signal de PIC tendent vers des valeurs moins pathologiques une fois la mise en place du gradient osmotique effectuée. Les sections rectilignes dans le monitorage du PSI s'expliquent par le fait que cet indice de morphologie est une moyenne de valeurs discrètes attribuées à chaque pulsation individuellement.
	24	+
	25	+\begin{figure}[h!]
	26	+ \centering
	27	+ \includegraphics[width=1\linewidth]{HTS/exemple.jpg}
	28	+ \caption{Exemple d'évolution du signal de PIC après injection de SSH. L'injection est pratiquée à \textit{t} = 0.}
	29	+ \label{fig:HTS-exemple}
	30	+\end{figure}
	31	+
22	32	\subsection{Modélisation mixte quadratique}
23	33	Les coefficients des modèles retenus sont présentés dans le tableau~\ref{hts-tab:coefs}. Concernant les effets fixes, la PIC, l'AMP et le ratio P2/P1 décrivent une trajectoire quadratique. Les coefficients fixes des autres descripteurs de forme (TPP et PSI) ne sont pas significativement non-nuls. Les effets aléatoires au niveau de l'individu ne sont pas conservés pour la PIC et l'AMP. La variance sur la réponse à l'injection, décrite par les effets aléatoires sur le temps et le carré du temps, est principalement captée au niveau "bolus". En revanche, une dichotomie s'observe sur les variations de ligne de base, captées par les écarts types des effets aléatoires sur les intercepts. Ces écarts types sont plus importants au niveau "bolus" pour la PIC et pour l'amplitude, mais plus importants au niveau "individu" pour les trois indicateurs de morphologie (PSI, TTP, P2/P1).
24	34
25	35
...	...	@@ -45,6 +55,24 @@
45	55	\label{hts-tab:coefs}
46	56	\end{table}
47	57
48		-Les effets
49	58	\subsection{Réponse à l'injection de HTS selon la PIC et le ratio P2/P1 initiaux}
	59	+Les modifications du signal de PIC induites par l'injection de HTS sont mesurées en calculant la différence des indicateurs entre la demi-heure précédant l'injection et le niveau le plus bas observé parmi les sections moyennées d'une demi-heure suivant l'injection. En particulier, la figure~\ref{fig:HTS-baseline} présente les baisses de PIC et de ratio P2/P1 induites en fonction des niveaux de PIC et de ratio P2/P1 observés au moment de l'injection.
	60	+
	61	+\begin{figure}[h!]
	62	+ \centering
	63	+ \includegraphics[width=1\linewidth]{HTS/full.png}
	64	+ \caption{Baisses du niveau de PIC et de ratio P2/P1 observés en fonction du niveau initial de PIC et de ratio P2/P1.}
	65	+ \label{fig:HTS-baseline}
	66	+\end{figure}
	67	+
	68	+De même que pour la PIC moyenne, le ratio P2/P1 moyen est fortement corrélé à la baisse de ratio P2/P1 observée. Si les PIC initiales élevées tendent à être associés à une plus forte de baisse de ratio P2/P1(r=0.24), la morphologie initiale des pulsations cardiaques n'est pas du tout prédictive de la réponse de la PIC moyenne à l'injection de SSH. La carte des corrélation entre l'ensemble des descripteurs utilisés est présentée figure~\ref{fig:HTS-heatmap}.
	69	+
	70	+\begin{figure}[h!]
	71	+ \centering
	72	+ \includegraphics[width=1\linewidth]{HTS/heatmap.png}
	73	+ \caption{Carte des corrélations entre les différents descripteurs du signal de PIC. PIC --- pression intracrânienne, AMP --- amplitude des pulsations cardiaques, PSI --- \textit{pulse shape index}}
	74	+ \label{fig:HTS-heatmap}
	75	+\end{figure}
	76	+
	77	+Les descripteurs du signal de PIC se répartissent en deux groupes, avec d'un côté les indices purement morphologiques (ratio P2/P1, PSI, TTP) et de l'autre la PIC moyenne et l'amplitude. Cette séparation est très marquée dans les corrélations deux à deux entre lignes de base, mais moins dans les différences induites par l'injection de SSH. À l'exception du PSI, il existe une bonne corrélation positive entre les niveaux initiaux des indicateurs et leur baisse induite par l'injection de SSH.

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